Des écoles de chefs de choeur
Après les premiers ateliers de formation du FICCFLO de Lomé, ouverture en 2011 de l'Institut de musique chorale de Lomé (Togo), suivi l'année suivante de la création de l'Institut régional de musique chorale de Cotonou. Ces écoles ont eu pour objectif la formation des chefs de choeur dans des pays africains où la pratique chorale est extrêmement développée et enthousiaste. Si l'école togolaise n'a pas perduré, celle de Cotonou, par contre, est solidement arrimée et bien structurée sous la houlette de Simon Dedji, personnalité emblématique du chant choral béninois.
Images


De Brazzaville à Abidjan, de Bujumbura à Libreville, en passant par Dakar, Lomé ou Cotonou, partout la même passion chorale et la même soif d'apprentissage que traduisent ces attestations et autres diplômes délivrés après chaque session. L'IMC a été ainsi la première structure d'enseignement musical à décerner des licences de musique au Togo et au Bénin.
Des recherches ethnomusicologiques ont également été menées dans plusieurs pays qui ont notamment abouti à un ouvrage sur le chant traditionnel des ethnies du Togo : Hadzidzi ou le génie de l'oralité.



Jusqu'aux tee-shirts !
A Dapaong, après le premier concert de la chorale Espérance des orphelins du sida de soeur Marie-Stella
A Tsévié, chant commun des Fêtes chorales

A Lomé, les cours ont très vite fait le plein

Ajouter un commentaire